« Des figues violacées, prêtes à éclore, s’offraient impunément aux côtés d’oranges juteuses et de grenades écarlates. Partout où l’on regardait, ce n’était que sensualité et plaisir des sens. Un appel à l’éveil charnel, à l’hédonisme et à la voluptuosité. »
Résumé
Enlevée sur un bateau, la belle Cléromyde se retrouve plongée dans les intrigues d’un harem. Le bey y cherche son épouse et jette son dévolu sur cette odalisque à la peau d’albâtre. Éprise du grand vizir Sidi Hosseïn, un homme poète et humaniste, elle noue également une relation intime et profonde avec son esclave Miranda. Au milieu de la splendeur de ce palais, comment l’héroïne trouvera-t-elle les moyens de son émancipation ? Sera-t-elle condamnée à épouser le bey ? Ses sœurs seront-elles ses amies ou ses ennemies ? Parviendra-t-elle à échapper aux griffes du terrible Habib ibn Tahar ?
Un conte haletant qui nous emporte dans un monde d’une sensualité et d’une puissance époustouflantes.
Quatrième de couverture
Dans un lointain Orient, Le Palais des délices suit les pas d’une femme franco-andalouse, enlevée sur un bateau et contrainte à l’esclavage dans un harem.
Belle, cultivée, musicienne autant que poétesse, l’héroïne va plonger dans un monde aussi dangereux que merveilleux, où les intrigues et les rivalités font rage. Un univers empreint de raffinements où la splendeur et la sensualité règnent en maîtres.
La découverte de la sororité, de la danse, des rituels entre femmes et de la plus grande des voluptés la révélera à elle-même et l’initiera au Féminin sacré.
Un véritable hymne à l’Amour et à la Liberté, chanté par des personnages-poètes aux destins tragiques.
Autrice, comédienne et metteuse en scène de pièces de théâtre, Eva Byele poursuit dans ce conte aux allures des Mille et Une Nuits son travail sur l’empuissantement des femmes, à travers l’écriture et l’expression du désir féminin.
Ce roman est un hommage à l’écrivaine du XVIIe siècle Madame de Villedieu et à la sociologue marocaine Fatema Mernissi.
Disponible en format papier et en Kindle sur Amazon.
La Presse en parle :
« Un univers poétique et sensuel. » Amina Mag
« Une ode à l’émancipation des femmes. » Combat le média
« Eva Byele revisite les codes de l’orientalisme. » La Tribune de l’Initiative
« L’épopée d’une héroïne sur le chemin de la connaissance de la sororité, de soi et de son désir. » AirZen Radio
Maison d’édition : Les Bruissements de l’âme
Photographie : Lucía Herrero