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Dans les années 1920, près de Paris, une femme mariée se désespère dans sa maison bourgeoise lorsqu’elle rencontre un homme, artiste, comme elle …
De cette passion éphémère naîtront 24 le res écrites en 24 heures pour pallier le silence et l’absence de son amant. Au fil des heures et des pages, l’écriture se révélera comme la clé de l’émancipation.
Description
« J’avais besoin de vivre mais je ne le savais pas encore. »
Une femme, seule, dans son salon, écrit à sa table des le res. Nous sommes dans les années 1920, près de Paris. Ce e femme se désespère dans sa maison bourgeoise du rôle auquel elle est confinée depuis qu’elle s’est mariée. Mais dans ce e solitude, elle vit une autre vie, avec ses livres.
Chaque jour, elle lit, étudie, écrit. Son mari, lui, ne veut pas entendre parler des livres qu’elle compose. « À ses yeux, l’écriture n’était pas un travail. Un travail était rémunéré, celui-là ne servait à rien. Je n’en ferais rien, personne ne me lirait et jamais je n’en vivrais. »
Un jour, elle décide d’aller chez des amis et rencontre un homme, artiste, comme elle. Instantanément, elle lui dit ce qu’elle cachait toujours : « J’écris des livres. » S’ensuivra un amour aussi passionné qu’éphémère.
Elle écrira alors 24 le res en 24 heures pour tenter de comprendre le silence et l’absence de son amant. Au fil des pages, l’écriture lui apparaîtra comme son désir le plus profond. « Mes livres sont là, ils sont mes enfants eux aussi et je les chéris plus que tout, ils m’ont faite autant que je les ai faits. »
Ce livre est un hommage à la grande poétesse et dramaturge du XIXe siècle Constance de Salm à qui l’on doit le magnifique roman épistolaire 24 heures d’une femme sensible de 1824.
Informations complémentaires
Auteur | Eva Byele |
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Parution | Juin 2018 |
Poche | 80 pages |
Dimensions | 10,5 x 0,5 x 15 cm |